Cultiver son bonheur - à l'usage des nouveaux soixantenaires, mais pas que !

Parmi les meilleurs moyens de s'éclaircir les idées, un grand moment au jardin suffit amplement. Le travail des mains, des muscles, fait oublier les soucis (ou Calendula). De plus, récolter les multiples bienfaits de cette saine activité (jardiner bio) permet d’installer durablement le goût du jardin. Pour semer les prémices de ce bonheur sur terre, l'équipement qu'il vous faut : des bottes colorées, mais aussi de la patience (Impatiens) et de la persévérance.
S'il faut toujours attendre avant de cueillir un jour les fruits sucrés de son labeur, parfois il faut d'abord resemer... Inutile de m'épandre sur le sujet, je vous évite de repiquer du nez sur ce manifeste.
Il faut surveiller les graines du bonheur. Elles sont fragiles et leurs pousses le sont encore plus, d'autant qu'elles ne sont pas vivaces. Mais généralement, il suffit juste de les arroser et de les biner un peu (car un bon binage vaut deux arrosages !), et aussi donner un petit coup de sécateur de temps en temps pour tailler et redresser les branches tournées vers soi. L'introspection a ses limites, apprenons à ouvrir nos corolles vers autrui...
Ne cherchez plus à diviser pour mieux régner, la star du potager, c'est VOUS !
Sachez plutôt partager et planter les graines de jardinier parmi votre entourage.


Soyez heureux. Les jardiniers heureux sont tolérants et résistent aux pulsions de butter les agaçants qui sont de la mauvaise herbe.

Que les envieux de votre bonheur aillent sarcler ailleurs, vous ne pouvez pas bouturer votre bonne humeur à l'envi.

Sur ce, je vous salue bien bas et vous tire mon chapeau (de paille !)

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